[BIEN-ETRE]

Pour des entreprises plus responsabilisantes avec des valeurs fortes.

La qualité de vie au travail vit sa révolution depuis que les Chief Happiness Officer (CHO) ont fait leur arrivée. On montre l’entreprise sous le signe du bonheur, avec comme porte drapeau des Millennials à l’écoute active, organisant barbecue d’entreprise, séances de yoga, plante verte et cuisine healthy.

Les responsables du bonheur en entreprise sont en charge de faire disparaître les aspects négatifs du quotidien des salariés afin qu’ils soient plus concentrés sur leurs tâches.

En France, la fonction prend son envol en 2014, aujourd’hui la job desk est organisée et structurée et désormais, l’objectif des CHO est clairement défini.

Le champs d’action est varié et peut aller de l’organisation de petits déj ou d’afterwork conviviaux, à la diffusion de l’« happy culture» en travaillant sur la com interne, des challenges internes, ou encore des « ateliers d’écoute ». Certains CHO sont également en charge de reconsidérer l’environnement de travail en améliorant l’ergonomie des postes de travail ou en créant des espaces de repos et d’activités sportives.

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Certaines entreprises souhaitent aussi améliorer l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle des salariés et mettent ainsi à disposition des services spécifiques ou favorise davantage le télétravail.

En résumé, à chaque entreprise son appétence, son Chief Happiness Officer et sa transformation positive. Mais pour améliorer de manière signifiante la QVT (Qualité de Vie au Travail) et le bien-être des salariés, le Chief Happiness Officer doit avoir une liberté d’action et cela suggère un levier décisionnel.

Il y a peu d’annonces sur les sites d’emploi encore aujourd’hui, car il n’y a pas de profil-type ni de cursus de formation spécifique. Le principal point commun des Happiness manager est qu’ils connaissent en général très bien la culture de leur entreprise.